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De Georges FEYDEAU

Un retour dans le monde de Feydeau.

 

Après le grand succès du « Fil à la Patte », notre retour dans la salle Aimé Moron se fait avec enthousiasme, envie et grand plaisir.

 

Comme toujours chez Feydeau, les évènements s’enchaînent et la situation « cocasse » du départ fait boule de neige. Cette femme légère, danseuse au moulin rouge, cette « môme Crevette », pleine de gouaille et de fraîcheur, va entraîner le respectable docteur Petypon dans une pente plus que savonneuse !! Un joyeux méli-mélo de quiproquos et de malentendus  qui va finir par faire des étincelles !!

 

Comme précédemment, le projet est d’envergure. Nous avons choisi une pièce riche par ses situations et la diversité de ses personnages, mais également difficile par son écriture « désordonnée » et la longueur de ses actes. La mise en place d’un nombre important d’acteurs s’est révélée particulièrement périlleuse. Heureusement, la motivation et la bonne humeur du groupe étaient au rendez-vous.

 

Cette fois encore, je rends hommage à toutes les personnes qui ont participé à cette aventure, et elles sont nombreuses !

 

Jean Marc Venier

essai affiche version papyrus 2 maxim 1.

L’Auteur

 

Né en 1862, il est le fils d’un curieux personnage, Ernest Feydeau, à la fois écrivain, directeur de journal et agent de change. Son meilleur roman, Fanny, le fait comparer à Flaubert, l’un de ses meilleurs amis avec Théophile Gautier et les Goncourt.

Dès l’âge de dix-neuf ans, en 1882, il fait représenter sa première pièce, Par la fenêtre au casino de Rosendaël, une obscure station balnéaire du nord de la France. Malheureusement, il collectionne les " fours " - à l’exception de Tailleur pour dames - au point qu’il songe à se faire acteur... Mais à vingt neuf ans, en 1892, c’est enfin le triomphe avec Monsieur chasse.
La même année, ce succès est confirmé par la réussite de Champignol malgré lui et du Système Ribadier. Les œuvres de Feydeau, désormais célèbres, sont traduites en une dizaine de langues et jouées dans toute l’Europe.
Dans les années qui suivent, ce sont Un fil à la patte, L’Hôtel du libre échange, Le Dindon, La Puce à l’oreille (1907) et La Dame de chez Maxim qui pour les provinciaux et les étrangers est, avec la Tour Eiffel, la principale attraction de Paris.

Il conçoit alors l’idée de s’inspirer de sa propre expérience pour écrire des farces conjugales où il peindra avec une implacable férocité burlesque les dissensions des couples. Il inaugure brillamment ce nouveau type de pièce avec Feu la mère de Madame, bientôt suivi d’On purge bébé, de Mais n’te promène donc pas toute nue, etc, toute une série d’œuvres à laquelle il donne un titre suggestif : du mariage au divorce...

 

La pièce

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Le Docteur Petypon, respectable et respecté, a fait la noce avec son ami Mongicourt. Le lendemain à midi, il n'est toujours pas réveillé et dort sous le canapé, tandis que dans son propre lit se prélasse, en petite tenue, une jolie fille, connue au Moulin Rouge, sous le nom de la Môme Crevette. La femme de PetyponGabrielle, pétrie de religion et qui croit aux apparitions, va et vient dans l'appartement. Un malheur n'arrivant jamais seul, voilà que débarque d'Afrique un oncle à héritage.

Mise en scène

Jean-Marc Venier et Mickaël Calvez

 

Costumes

Renée Deniau et Nicole Calvez

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Coiffures

Jean-François Chollet (L’Atelier du coiffeur)

 

Maquillages

Nicole Diet, Marie Robin, Martine Husson

et Emilie Potez

 

Accessoires

Jacky Martin

 

Equipe décors

Laurent Mingot, Gilbert Barth, Franck Cretin,

Eric Taunais, Sébastien Huguet, Roger Gozard,

Bertrand Raimbault et  Yves Sevestre

 

Régie

 Jérôme Pinson

 

Régisseur Coulisses

 Mickael Calvez

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Chorégraphies

 Claire Grangereau

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Coordination

Philippe Choisnet

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Couturières

Marie-Thé Housset, Huguette Vetault

et Simone Sevestre

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Habilleuses

Isabelle Martin, Maryse Chalopin et Isabelle Lecorre

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DISTRIBUTION

 

Petypon : Didier Chalopin

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La Môme « Crevette »: Stéphanie

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Mongicourt : Philippe Choisnet

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Le général : Jean-Marc Venier

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Madame Petypon : Odile Bianco

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Etienne : Jacky Martin

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Corignon : Michel Caillau

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Le Balayeur : Francis Husson

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Emilienne : Rose Quatrecoups

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La Duchesse : Claude Habert

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Clémentine : Isabelle François

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Le Duc : Frédéric Nouri

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L’Abbé : Philippe Leroy

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Madame Vidauban : Marie Bonsirven

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Madame Ponant : Sophie Thibault

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Madame Claux : Sabine Lemay

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Madame Hautignol : Hélène Pham Van Sam

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Madame Virette : Marylène Gouault

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Monsieur Vidauban : Jean-Yves Lepeltier

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La Baronne : Corinne Barron

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Le Sous-Préfet : Jacky Chesneau   

   

Madame Sauvarel : Michelle Briand

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Guérissac : Sébastien Laizé

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Chamerot : Gaël Le Jean

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Monsieur Tournoy : Gabriel Malary

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Madame Tournoy : Madame Malary

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Premier livreur : Louis Loaec

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Deuxième livreur : Mickael Calvez

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La dame de chez Maxim's

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